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Lun Yu Table des matières – Les Entretiens de Confucius

Le Maître échange propos, anecdotes, brèves paraboles et maximes avec ses disciples. Tr. Couvreur (fr), Legge (en) et Lau (en).

Section 1Section 2Section 3Section 4Section 5Section 6Section 7Section 8Section 9Section 10Section 11Section 12Section 13Section 14Section 15Section 16Section 17Section 18Section 19Section 20
(Choisir une section et les chapitres apparaîtront ici)

Extraits aléatoires

VII. 11. Le Maître dit à Ien Iuen : « Toi et moi nous sommes les seuls qui soyons toujours disposés à remplir une charge, quand on nous l'offre, et à rentrer dans la vie privée, quand on nous la retire. » Tzeu lou dit : « Maître, si vous [...]

VIII. 18. Le Maître dit : « Oh ! suprême grandeur ! Chouenn et Iu ont possédé le monde sans y être attachés. » [...]

XIV. 15. Le Maître dit : « Wenn, prince de Tsin, était fourbe et manquait de droiture ; Houan, prince de Ts'i, était plein de droiture et sans duplicité. » [...]

XV. 39. Le Maître dit : « Dans mon école tous les hommes sont admis, sans distinction. » [...]

Le livre ↓ Confer ↓

Confucius

Gravure de Confucius sur fond noir « Le philosophe A. N. Whitehead a dit que toute la philosophie occidentale était une série de notes sur l'œuvre de Platon. Ceci est plus vrai encore pour la philosophie chinoise, qui n'est qu'une longue série de commentaires sur Confucius. », c'est ainsi que commence cet article en anglais de l'encyclopédie philosophique Routledge présentant la philosophie de Confucius. Ce sage de la Chine ancienne a suscité la fascination de Voltaire, la déception de Hegel et l'intérêt de nombreux penseurs occidentaux depuis les Lumières jusqu'à nos jours. Certains sont heureux d'y voir un matérialiste agnostique, d'autres le fondateur d'une morale humaniste, d'autres un Socrate chinois, d'autres enfin un précurseur éclairé de Jésus de Nazareth. Si aucun de ces points de vue n'est dénué de fondements, aucun ne rend définitivement compte de cette pensée profondément ancrée dans la culture chinoise. La compatibilité des enseignements de Confucius avec la plupart de ceux des Évangiles a été justement soulignée par des Pères Jésuites souvent admiratifs, mais son refus de parler des choses de l'autre monde l'éloigne de l'univers religieux. Sa vie et son influence offrent certaines analogies avec Socrate, mais la méthode de Confucius ne réclame ni définitions strictes, ni argumentations construites et c'est par des propos allusifs, des exclamations, voire des « tautologies » qu'il convainc ses disciples. L'attention particulière et presque exclusive qu'il consacre à l'Homme et à la société s'accorde avec notre idée d'une morale humaniste, mais sont attachements aux « Rites et à la Musique » comme principes structurant d'un groupe humain ou au sens de l'honneur (et de la honte) comme rempart contre les faiblesses de la nature humaine, par exemple, montre que le même but peut être visé selon des angles différents que ceux que nous connaissons et défendons. Confucius est un ardent défenseur de la pratique et il ne parle pas des esprits, mais il est très loin d'attacher plus d'importance que le strict nécessaire aux relations économiques et à l'utilité matérielle. Enfin, ces points de vue oublient en partie que Confucius est avant tout concerné par les problèmes du gouvernement, ce qui fait de lui un grand penseur politique. « Roi sans couronne » qui n'a pas réussi à faire appliquer son progamme de son vivant, son influence majeure et durable sur la civilisation chinoise en fait un des esprits ayant le plus profondément marqué l'humanité.

Gravure de ConfuciusConfucius est la forme latinisée de Kong Zi, ou Kong Fuzi. Son nom personnel est K'ieou (Qiu), qui veut dire « tertre ». Il aurait vécu de 551 à 479 avant notre ère. Sa vie est une série d'échecs, mais il se définit lui-même par la joie qui l'anime. Inquiet du sort des hommes de son pays, en proie à la division et aux luttes, il se sent investi d'une mission et propose où il peut ses services aux princes d'alors, mais son intransigeance le conduit à démissionner rapidement, quand il n'est pas brutalement chassé. Il finira sa vie sans voir les fruits de ses efforts et l'enseignement ne sera pour lui qu'un pis aller. Il faudra deux siècles encore pour que la Chine se réunisse en un Empire centralisé et que cessent les guerres intestines, lorsque le premier Empereur Qin Shi Huang imposa sa loi aux différents royaumes. Sa dynastie fondée sur les idées de l'École des Lois (autoritarisme et pouvoir absolu des lois) dura quinze années, puis fut remplacée par celle des Han, qui érigea le confucianisme (l'école concurrente : celle des Lettrés) en doctrine officielle. Un rigorisme doctrinal contraire aux préceptes du fondateur biaisait déjà ses enseignements. Ensuite, Confucius fut tour à tour vénéré, honni, adulé, raillé, souvent déformé et sanctifié par le régime en place ou ses détracteurs. De tous ces rebondissements, un excès ne vaut pas l'autre et il est tout aussi absurde de prendre ce personnage hautement humain pour un saint, un dieu, ou pour un réactionnaire, défenseur acharné de la féodalité et de l'oppression du peuple par une élite héréditaire. En lisant les Entretiens, ce compte-rendu de ses discussions avec ses disciples, on peut découvrir, outre ses idées politiques, son goût pour la musique, le gingembre, son amitié avec son disciple préféré, ses désillusions, ses espoirs pour l'humanité, et retrouver un peu la Voie qu'il a souhaité tracer pour les générations à venir.

Le livre

Les Entretiens sont un recueil de remarques où l'on voit Confucius vivre et parler avec ses disciples. C'est le livre qui permet sans doute de s'approcher au plus près de la pensée originale du sage, auquel on a attribué par excès de vénération la rédaction ou la compilation de nombreux autres canons de la culture chinoise. Pierre Ryckmans, qui a proposé une excellente traduction des Entretiens, affirme que « nul écrit n'a exercé une plus durable influence sur une plus grande partie de l'humanité » et précise : « Le texte des Entretiens a été compilé après la mort de Confucius et ce travail de compilation effectué par au moins deux générations successives de disciples s'est poursuivi pendant quelque trois quarts de siècle, jusqu'aux environs de 400 avant J.-C. Cette compilation a d'abord circulé en deux versions différentes qui ont finalement été refondues et amalgamées peu avant le début de notre ère sous la forme que nous lui connaissons aujourd'hui. Le texte comporte donc naturellement des lacunes, des redites, des interpolations, des fragments hétérogènes, des obscurités, des insertions d'éléments étrangers et anachroniques. Et pourtant, malgré tous les rapetassages et accidents de transmission, si l'on considère son âge vénérable, il a conservé dans l'ensemble une verdeur, une vigueur et une cohérence étonnantes : la personnalité même de Confucius lui donne sa vie et son unité. »

On peut le lire ici les Entretiens dans la traduction du R. P. Séraphin Couvreur (1835-1919), qui a introduit en Occident un grand nombre d'œuvres littéraires, poétiques ou philosophiques de la Chine ancienne, et dont le dictionnaire chinois classique-français est demeuré célèbre, est sensiblement teintée par l'état d'esprit de ce religieux, mais reste fidèle et sobre. Les commentaires en italique insérés dans le texte sont attribués à Tchou Hi (Zhu Xi, 1130-1200, dyn. Song), l'instigateur principal du néo-confucianisme, doctrine intégrant certains aspects du taoïsme et du bouddhisme, qui a eu valeur d'orthodoxie officielle jusqu'à la chute de l'empire. Certaines notes, indiquées « (MBC) », sont de Muriel Baryocher-Chemouny. On peut trouver ce livre en version papier chez Mille et une nuits. Cependant les traductions ne sont que des auxilliaires et c'est au texte chinois qu'il faut revenir sans cesse. En pointant un caractère chinois, une bulle apparaît avec une définition sommaire, et un click conduit à un dictionnaire plus complet. (Réchauffer l'ancien pour en tirer du neuf, c'est à dire étudier le passé pour comprendre le présent, est le but que se proposait explicitement Confucius. Ce site n'a pas d'autre vocation que d'apporter une très modeste contribution à cette continuelle entreprise humaine.)

Confer

Sources
  • Original text in traditional Chinese was found on this page.
  • English translation : Legge, James. The Chinese Classics, vol. 1, 1861. Found here.
  • Traduction française : R. P. Séraphin Couvreur (1835-1919), with Zhu Xi's commentaries (1130-1200, Song dyn.).
  • Another English translation : Lau, D. C. Confucius: The Analects. Harmondsworth, Penguin Books, 1979. Found here.
Indexes:
  • Lunyu yinde (A Concordance to the Analects of Confucius) 論語引得. Harvard-Yenching Institute Sinological Index Series, Supplement 16.
  • ICS Ancient Chinese Texts Concordance Series, 33.
Other translations / Autres traductions :
  • Waley, Arthur. The Analects of Confucius. London: Allen and Unwin, 1938.
  • Les Entretiens de Confucius. Traduit du chinois, présenté et annoté par Pierre Ryckmans, Gallimard « Connaissance de l'Orient », 1987.
Seseorang sakit psihis ‘Satu jalan berbuat (jalan/ cara yang dipakai orang) untuk sekelompok orang seolah-olah dirinya menteri, Pepatah setelah mendengar penyakitnya ‘Perlu waktu lama untuk menjadi seperti semula, Disebabkan semangat kemampuannya tidak memadai pula, Bukan pejabat negara akan tetapi berlaku seolah-olah pejabat negara, Menurut saya ‘Barang siapa mengambil manfaat yang tidak wajar, Surga juga mengambil manfaat yang tidak wajar selamanya, Selain itu diberi keputusan dirinya mati oleh tangan pejabat Negara pula, Tidaklah tenang mati sehubungan dengan dua atau tiga huruf ditangannya pula. Selain itu pahala yang terealisasi tidak menghendaki kebesaran alam baka, Pemberian kematian biasanya berhubungan dengan perjalanan /proses hukum alam semesta’.
Sugiar Yao – Lunyu 221 – 01/12/2009
Pepatah suatu yang luar biasa ‘Saya mendengar begitu banyak orang berpengetahuan merasa dirinya tidak perlu dan tidak harus memiliki tujuan hidup, Biasanya akan kehilangan orang dekat.
Sugiar Yao – Lunyu 501 – 01/12/2009
Lunyu 9:6 Menjelaskan yang besar nilai/ pengaruhnya memberikan kontribusi pada kehidupan setiap orang.
Setiap orang disini termasuk orang-orang berpengetahuan yang dapat menciptakan hal-hal baru dan lain-lain dll. Selama ini mendapatkan bimbingan sehingga dirinya dapat menyelesaikan berbagai permasalahan dengan tepat. Selanjutnya Nabi secara diplomatis mengatakan, yang besar nilainya/ pengaruhnya mengerti saya, berarti roh pembimbing Nabi selalu memberikan bimbingan pada dirinya. Nabi tidak menghendaki dirinya dinilai angkuh, merasa dirinya utusan tuhan, karena itu menyatakan boleh dikata banyak mendapatkan bimbingan dan boleh dikata belum cukup.

Pertanyaan yang besar nilainya/pengaruhnya memberikan kontribusi pepatahnya ‘Orang berpengetahuan mendapat bimbingan karena partisipasinya, Membawa begitu banyak kemungkinan pula.
Pepatah suatu kontribusi ‘Surga yang mapan dapat diperoleh melalui persiapan roh pembimbing, Lagi-lagi banyak kemungkinan pula. Seseorang mendengar seperti ini menyatakan ‘
Yang besar nilainya/ pengaruhnya mengerti saya, Menurut saya masih kurang pula, sikap merendahkan diri, Sejak dahulu banyak potensi memahami maksud urusan.
Biasanya Nabi banyak sudah melekat, Tidak banyak pula'.
Sugiar Yao – Lunyu 215 – 01/12/2009
Lunyu 15:39 mengingatkan para pemimpin negara jangan sekali-kali memberikan surat resmi tanda seseorang adalah penganut suatu agama mapun izasah yang menyatakan seseorang telah memahami ilmu agama yang dianutnya.:

Suatu pepatah “Percaya ajaran agama tidak harus ada surat resmi”.
Sugiar Yao – Lunyu 430 – 01/12/2009
Lunyu 15:11 Merupakan penjelasan, bahwa untuk memulai suatu usaha sebaiknya dimulai pada waktu remang-remang.
Kenyataan yang kita lihat memang demikian. Jika memulai usaha yang sudah terang benderang persaingannya sangat ketat dan pengusaha baru akan sulit bersaing dengan pengusaha lama yang sudah eksis lebih dahulu.
Begitu pula pada saat merayakan musim semi, perlu dirayakan dengan tari-tarian dan suara merdu, karena merayakan musim semi dengan teriakan2 yang tidak seronok hanya menunjukan dirinya tidak jauh dari bencana.
Dengan kata lain, dihari raya saja tidak dapat menahan diri untuk berucapan yang baik, bagaimana mungkin keseharian dirinya dapat menjaga ucapannya.sebagai berikut:

Pertanyaan mimik wajah yang dalam “Demi Negara bagian”.
Suatu pepatah ‘Memahami musim semi adalah waktunya, Lebih bermanfaat pada saat masih remang-remang mulai berjuang. Menciptakan pakaian bagaikan pangeran.
Kebahagiaan selanjutnya adalah mengharmoniskan dengan menari (dance), Melepas ketegangan (perasaan serius) dengan berteriak, Jauh dari orang berbakat,
Ketegangan dengan teriakan tidak seronok (kata-kata kotor), Merupakan bakat (talenta) orang-orang yang sering menghadapi malapetaka’.
Sugiar Yao – Lunyu 402 – 01/12/2009
Lunyu 9:11 Menceritakan ada orang-orang yang terlahir dengan kemampuan melihat roh-roh halus. Orang ini menyadari dirinya tidak boleh memanfaatkan roh-roh halus ini untuk kepentingan dirinya, sebagai berikut:

Sengan mimik wajah yang dalam mengeluh benar-benar meratapi berkata ‘Lihatlah setara memenuhi sampai diatas, Menerobos masuk berada diruangan sepertinya tidak mau pergi, Melihatnya setara dari depan, Tiba-tiba entah bagaimana menjadi ada dibelakang, Orang berpengetahuan hanya menganut paham yang memiliki kebaikan dan menarik perhatian manusia, Perseteruan dengan saya hanya catatan, Kontrak dengan saya hanya etika, Keinginan Gencatan / saling berdamai tidaklah mungkin, Yang telah ada punah dengan kemampuan saya, Apabila ada tempat untuk berdiri, Terkenal jadinya, Apabila memiliki bakat/ berkehendak mengamati seperti ini, Bukannya semangat/ proses yang mengakhirinya.
Sugiar Yao – Lunyu 220 – 01/12/2009
Pertanyaan umum membuat keputusan ‘Pembuat aturan menjadikan ada menteri, Menteri adalah urusan pembuat aturan, Seperti ini pembawaannya’ .
Konghucu menghadapinya dengan pepatah ‘Pembuat aturan menjadikan ada menteri adalah peraturan, Menteri adalah urusan pembuat aturan karena kesungguhan hati’.
Sugiar Yao – Lunyu 59 – 01/12/2009
Perkembangan masyarakat :
Suatu pepatah ‘Urusan pembuatan aturan adalah etika/ peraturan yang kadaluwarsa, manusia umumnya mengharapkan pertolongan/ bantuan pula’.
Sugiar Yao – Lunyu 58 – 01/12/2009
Perkembangan masyarakat :
Suatu kontribusi bernafsu pergi memberitahu penggantian tahun lunar dengan korban kambing.
Suatu pepatah ‘Berkah pula, kalian menyukai kambing, saya menyukai etika’.
Sugiar Yao – Lunyu 57 – 01/12/2009
Keakhlian :
Suatu pepatah ‘Memanah bukan sekedar memiliki suatu bidang, demi kekuasaan tidak sesuai jurusan/ bidangnya, sejak dulu seperti ini hukum keseimbangan alamnya’.
Sugiar Yao – Lunyu 56 – 01/12/2009
Agama dan kenyataan :
Seseorang memasuki kelenteng besar, bertanya segala persoalan.
Pepatah kemungkinan ‘Sesungguhnya menceritakan orang-orang Zou yang telah modern sepertinya telah biasa mengerti etika, masuk ke kelenteng besar, bertanya setiap persoalan’.
Seseorang mendengar pepatahnya seperti ini ‘Adalah aturan/ etika pula’.
Sugiar Yao – Lunyu 55 – 01/12/2009
Suatu pepatah ‘Menciptakan kemapanan sehubungan dengan itu dibutuhkan 2 generasi, menakjubkan, menakjubkan kebiasaannya membaca buku literature telah melekat, menurut saya ikut serta menciptakan‘.
Sugiar Yao – Lunyu 54 – 01/12/2009
Pepatah pertanyaan pembelian oleh cucu penguasa ‘bersama-sama merasa nyaman sehubungan persembahan misteri, merasa tenang dan nyaman setelah memberikan persembahan misteri yang berhubungan dengan dapur/ rejeki‘.
Suatu pepatah ‘Tidaklah tepat, dapat menangkap dosa-dosa sehubungan kebahagiaan/ sorga. Menurut saya selalu berdoa untuk memohon bimbingan pula‘.
Sugiar Yao – Lunyu 53 – 01/12/2009
Beramal hanya kepada yang nampak, beramal kepada dewa kalau dewa itu nampak.
Suatu pepatah ‘Menurut saya tidak berpartisipasi dalam hal beramal, sesungguhnya tidak beramal’.
Sugiar Yao – Lunyu 52 – 01/12/2009
Kemungkinan bertanya bertani sesuai pengarahan.
Suatu pepatah ‘Bagi yang belum mengerti, mengerti pengarahan akan bermanfaat menjadikannya kebiasaan seperti ini di dunia pula, sebaiknya merealisasikan hal seperti ini sebanyak-banyaknya dan selamanya. sebaiknya menunjuk yang menangani’.
Sugiar Yao – Lunyu 51 – 01/12/2009
Suatu pepatah '“Bertani”, menggairi sendiri yang telah ada dilanjutkan seperti pengarahan sebelumnya, saya tidak tertarik perlu ada pengawasan untuk ini selamanya'.
Sugiar Yao – Lunyu 50 – 01/12/2009
Suatu pepatah ‘aturan /etika yang telah bersemi, boleh saya ucapkan seperti ini, untuk cadangan belum mencukupi perjalanannya pula.
Aturan/ etika yang masih remang-remang, boleh saya ucapkan seperti ini, pada masa percontohan, untuk song tidak mencukupi pula.
Buku pedoman yang tersedia masih tidak mencukupi pada waktu dahulu pula, prinsipnya menurut saya percontohan memungkinkan seperti ini selamanya’.
Sugiar Yao – Lunyu 49 – 01/12/2009
Perdagangan :
Pepatah pertanyaan suatu yang bersemi ‘Tertawa penuh arti meniru senyuman berlesung pipi, mata mengharapkan keindahan senyuman berlesung pipi, bersikap datar menjadikan menggantikan berlesung pipi, pembawaannya begitu pula‘.
Suatu pepatah ‘Melukiskan permasalahan/ urusan kemudian bersikap datar. biasanya aturan/ etika urusan nanti‘.
Suatu pepatah ‘Mulai melayani seperti ini pada dunia perdagangan pula, Mulailah dengan secara bersama-sama mengucapkan puisi selamanya‘.
Sugiar Yao – Lunyu 48 – 01/12/2009
Suatu pepatah ‘Nabi tidak memberi tempat untuk pertengkaran. Pada saat ada yang memancing pertengkaran, Nabi biasanya akan berusaha menghindari/ mengabaikan pula, akan berjabat tangan untuk minta izin meninggalkannya sebagai menjaga citra dirinya, selanjutnya akan minum. Walaupun diajak bertengkar tetap saja seorang Nabi‘.
Sugiar Yao – Lunyu 47 – 01/12/2009
Perjalanan musiman pemula sehubungan mendapatkan aman sentosa di gunung.
Pepatah suatu cerita setelah beberapa saat ada ‘Buddha wanita mampu memberikan keselamatan’.
Pepatah menghadapinya ‘Tidak mugkin’.
Suatu pepatah ‘Tangisan dan kicau burung, ceritanya telah tersedia aman sentosa di gunung, biasanya seperti hutan belantara diabaikan’.
Sugiar Yao – Lunyu 46 – 01/12/2009
Paysage chinois sur plateau (56)

Les Entretiens de Confucius – Lun Yu – Chinois off/on – Français/English
Alias the Lunyu, the Lun Yü, the Analects, les Entretiens du maître avec ses disciples.

Le Canon des Poèmes, Les Entretiens, La Grande Étude, Le Juste Milieu, Les Trois Caractères, Le Livre des Mutations, De la Voie et la Vertu, 300 poèmes Tang, L'Art de la guerre, Trente-six stratagèmes
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